Suite à la victoire importante contre Chelsea, City enchaîne à domicile face à une équipe que nous connaissons désormais bien, une victoire permettrait de terminer 1er du groupe! Voici ce qu’en pense Pep Guardiola accompagné de Gabriel Jesus:
Gabriel Jesus:
» Je ne me réjouis pas de la blessure de Sergio. Je n’aime pas que mes amis soient blessés, mais je travaille dur tous les jours. Je suis prêt à jouer et à montrer que je veux évoluer. Je suis prêt.
En venant ici, je savais que la compétition allait être rude. Sergio est le meilleur buteur du club, il marque tout le temps. Je le savais. Mais j’ai la chance de jouer avec Pep, avec de grands joueurs, dans un grand club. Je suis venu pour ça. J’apprécie et j’apprends.
Pep Guardiola:
» Agüero sera indisponible pour plusieurs matchs. Il a un problème au tendon et sera donc absent pour quelques matches.
Nous n’avons pas d’autres blessures. Silva avait des crampes mais il va mieux.
Malheureusement, Zinchenko est blessé. C’est un joueur incroyable, il peut jouer à plusieurs postes et s’adapte à chacun d’entre eux. Nous sommes heureux de l’avoir.
Nous sommes dans une bonne position mais nous ne sommes toujours pas qualifiés. Nous avons cette opportunité demain. Le match contre Chelsea était intense et demain, nous verrons quelles sont nos conditions physiques.
Je veux qu’Arteta reste avec nous, peu importe les rumeurs qui le relient à un autre travail. Il était un joueur incroyable avec une bonne vision. En tant que milieu défensif, c’est la position parfaite pour apprendre le jeu. Il sera un entraîneur tôt ou tard.
Agüero nous manquera. Nous avons quelques problèmes avec les blessures, en attendant, Jesus et Sterling peuvent jouer à cette position. Nous ferons sans lui.
Cette équipe est capable de bien réagir dans les mauvaises situations, il n’y a jamais eu de questionnement à propos de leurs caractères. Nous préférerions avoir tout le monde en forme, mais nous avons assez de bons joueurs et la mentalité de gagner les matchs. Depuis le premier jour, j’ai dir aux joueurs que les blessures n’étaient pas une excuse. «
