De quand date ton premier contact [avec City] ?
« Mon agent m’a dit qu’ils voulaient me signer, et ensuite [Roberto] Mancini m’a appelé pour me dire la même chose. De Décembre à Juin il m’appelait chaque semaine, ou toutes les 2 semaines. Il voulait que je vienne et c’est ce que j’ai décidé, ce fut une de mes meilleures décisions. »
Raconte-nous ton premier jour [à City].
» (rires) c’était après la Coupe du Monde [2010], je suis venu ici pour la visite médicale et j’étais saoul (rires). C’était après les célébrations de la victoire et j’étais fatigué (rires). »
Comment s’est passé ton premier match [avec City] ?
« Je crois que c’était contre Tottenham, je n’avais qu’une semaine d’entraînement en amont. J’ai débuté le match, mais j’ai rapidement fatigué. Après 1 ou 2 mois j’étais plus en forme, j’ai commencé à mieux jouer et j’ai repris confiance. »
Quelle fut ta première impression en Premier League ?
« Physiquement, c’était différent [de LaLiga]; au niveau de l’arbitrage aussi, ils sont plus permissifs ici. »
Quel fut ton premier but [avec City] ?
« Je crois que c’était contre Blackpool, ce but m’a donné confiance et j’ai pu progresser. »
Quel est ton but préféré en Premier League ?
« Je pense celui-ci. Parce qu’il a été très important pour moi. »
Quel a été ton premier trophée ?
« La FA Cup (2011). »
On peut dire que tu as beaucoup de médailles, n’est-ce pas ?
» (rires) On va dire que je suis chanceux, mais travailler dur facilite les choses. »
Où gardes-tu tes médailles ?
« Ma mère les garde (rires). »
Quelle fut ta première erreur ?
« Peut-être l’été après la Coupe du Monde (2010), j’ai un peu trop profité (rires). Et pas qu’une fois, des fêtes tout l’été (rires). »
Raconte-nous ces célébrations.
« Quand on gagne quelque chose de tel, tout le pays est heureux, tout le monde veut te féliciter, c’est incroyable. »
Quand as-tu pleuré pour la première fois ?
« Je ne crois pas avoir pleuré [pour du foot]. Pourquoi ? Ce ne sont que des matchs : parfois on gagne, parfois on perd… Je respecte ceux que cela fait pleurer, mais ce n’est pas mon cas. »