Quel est votre premier souvenir ?
« C’est jouer au foot dans ma petite ville au parc. J’étais un peu meilleur que mes amis (rires). C’était une petite ville, donc j’étais toujours avec le même groupe de personnes, nous allions faire du vélo, à la piscine… »
Qui était votre premier héros ?
« Bernd Schuster, un joueur allemand de Barcelone, avec des longs cheveux blonds… mieux que les nôtres (rires). Il était bon, c’était mon idole à ce moment-là : c’était un excellent milieu… Je pense aussi à Michel Platini. »
Quel était votre premier match en tant qu’entraîneur ?
« C’était un match européen, face à une équipe dont j’ai oublié le nom honnêtement (13/08/08, 4-0 contre le Wisla Cracovie). J’étais nerveux, je le suis toujours avant un match, mais le pire était lors de mes débuts en tant que joueur, j’avais 19 ans, au Camp Nou face à 80000 voire 90000 personnes. »
Quel était votre premier trophée ?
« La Copa del Rey. Nous avions une demi-finales de Ligue des Champions 3 jours après, c’était des semaines chargées, mais nous étions si heureux. Ma première Liga reste toutefois mon meilleur souvenir, nous avions gagné 2-6 contre [le Réal] Madrid, c’était le premier trophée [en championnat], cela reste le plus beau pour moi. »
Quelle fut votre première erreur ?
« Les transferts sont parfois de grosses erreurs, cela arrive souvent, mais il faut oublier et passer à la suite. »
Quel est votre premier « wow » ?
« En tant que jeune supporter barcelonais, tous les joueurs étaient mes héros, je voulais les maillots, les chaussures… J’ai pu en rencontrer certains comme j’étais à la Masia, et aussi ramasseur de balles. D’ailleurs l’un d’eux est devenu mon capitaine plus tard : Alexanko. »
